INSFP Ahmed Zabana - Ain Oulmène

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La réussite ou l’échec scolaire de nos enfants Les parents sont-ils responsables?

La réussite ou l’échec scolaire de nos enfants

Les parents sont-ils responsables?

 

Publié le 13.04.2024 dans le Quotidien l’Expression


L’attitude de la famille, notamment celle des parents, est un facteur clé du déroulement de la scolarité de notre progéniture.

 

Toutes les familles sont attachées à la réussite scolaire de leurs enfants

 

L'implication des parents dans la vie scolaire des enfants est essentielle pour leur réussite. Leur collaboration avec le personnel enseignant et les intervenants scolaires est primordiale. Cela permet de mieux comprendre ce qui se passe à l'école et de faire un meilleur suivi des apprentissages de nos enfants. Le projet c'est d'ouvrir l'école aux parents pour voir les progrès de leurs enfants dans leur cursus scolaire car la participation des parents dans le domaine de l'éducation est une force considérable qui est trop souvent sous-estimée dans notre système éducatif et pourtant elle est constitutive de cette réussite scolaire.

 

Toutes les familles sont attachées à la réussite scolaire de leurs enfants, or, cette réussite dépend du dialogue entre le personnel enseignant et les parents qui sont impliqués dans l'accompagnement de la scolarité de leur progéniture, ils sont considérés désormais comme des membres à part entière de la communauté éducative et doivent être associés aux prises de décisions, notamment dans le cadre de leur participation aux différentes instances pour lesquelles ils élisent leurs représentants.

 

Comment les parents peuvent guider leurs enfants sur le chemin de la

réussite scolaire

Le rôle des parents est primordial, voire complémentaire à celui du personnel enseignant. Ils sont là pour encadrer leurs enfants, soutenir leurs efforts, les encourager et les accompagner dans leur cursus scolaire. Vous parents, vous n'avez surtout pas à vous transformer en enseignant, vous êtes là pour les aider de plusieurs façons. Assurez- vous que votre enfant dispose d'un endroit calme et organisé pour entamer ses travaux scolaires, et si cet endroit est un espace de vie commune, limitez, le plus possible les sources de distraction. Fournir les meilleures conditions possibles à votre enfant est important. Guidez- les pour utiliser les bonnes stratégies. Posez leur des questions: quelle démarche faut-il suivre pour résoudre ce problème? Quelle règle grammaticale faut-il appliquer? Comment traduit-on ce mot en arabe ou en français? Aidez vos enfants tant que vous pouvez dans leurs devoirs et leurs leçons sans faire le travail à leur place, cela renforcera leur apprentissage à la maison. Amenez vos enfants à réviser régulièrement les notions apprises à l'école pour leur faciliter l'assimilation des matières. Aidez-les à reformuler les mots qu'ils avaient appris à l'école. Restez toujours à leur écoute et maintenez toujours avec eux le dialogue.

 

Influence de l'environnement familial

Les parents ont un rôle important à jouer, contrairement à ce qu'on a toujours pensé. L'école n'est pas l'unique responsable de la réussite scolaire des enfants. En effet, l'attitude de la famille, notamment celle des parents est un facteur clé du déroulement de la scolarité de notre progéniture. Les disputes fréquentes à la maison des parents, les séparations, les divorces, les déménagements de temps à autre, tout cela peut déséquilibrer votre enfant et remettre ainsi en cause son apprentissage et ses études. Par contre votre attention, votre intimité et harmonie familiales sont des facteurs importants à accorder à votre enfant, surtout en période d'examen pour espérer une probable réussite. Beaucoup d'échecs scolaires soudains et passagers s'expliquent au départ par une absence ou une rupture de cet équilibre psychologique et affectif qui fait défaut dans certaines familles où l'enfant ne se sentira pas en sécurité, ses capacités qu'il devra mobiliser pour ses études il les utilisera plutôt pour résoudre ses problèmes affectifs et tenter d'assurer sa propre sécurité.

 

Le devoir de communication

Dans ces conditions, les échecs scolaires de votre enfant deviennent inconsciemment des appels au secours. En fait, ce dont votre enfant a le plus besoin pour construire sa réussite, c'est avant tout l'affection, la considération, la confiance en soi, l'attention et l'amour que vous lui communiquez, tout cela pourra renforcer ses sentiments de sécurité, son existence, sa valorisation et sa personnalité en vue d'une réussite scolaire certaine. Également les facteurs sociaux-économiques et culturels de la famille influent d'une manière directe ou indirecte sur le rendement et la réussite scolaire des enfants et des adolescents. Par conséquent, un sentiment de rejet et d'indifférence des parents créera une mauvaise opinion et une sous-estimation de lui-même de ce fait, une reconnaissance, une approbation, une disponibilité de la part de ses parents pourra conduire chez lui une meilleure prise de conscience, de la confiance en soi, de la volonté à apprendre, de la motivation pour de meilleurs résultats.

 

Certes, cette réussite ne dépend pas uniquement de l'école ou des capacités mentales de l'élève mais surtout des parents qui ont un rôle à jouer sur le plan psychologique, sociologique et éducatif de leur progéniture.

 

Aider les parents dans l'accompagnement de leurs enfants
tout enfant pourra réussir dans ses études.

Il faut trouver «les bonnes recettes» c'est-à-dire des enseignants de qualité bien formés sur le plan de la pédagogie, de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent et de la didactique, des parents présents et à l'écoute, les outils doivent être adaptés à l'enfant. Chacun à son rythme. Certes, des parents instruits c'est important, mais un parent qui ne sait ni lire ni écrire peut par sa présence seulement, ses encouragements, l'accompagnement de son enfant dans son cursus scolaire le faire arriver à des résultats satisfaisants. Cet enfant doit être nourri par une certaine affection, une confiance en soi et une motivation d'apprentissage.

 

Dire je ne sais pas lire et écrire donc je ne peux pas aider mon enfant, c'est faux! C'est absolument injuste! Il est vrai qu'être instruit c'est très important, mais ce n'est pas déterminant, ce qui est déterminant, c'est d'être tout le temps à l'écoute de son enfant, de le suivre dans ses progrès d'apprentissage à travers les notes obtenues dans ses devoirs, suivre son assiduité aux cours, son comportement à l'intérieur et l'extérieur de l'école, son comportement avec ses professeurs et ses pairs.

 

L'école donne des informations pour chaque enfant pour que les parents puissent tout simplement être plus responsables envers leur progéniture. Contrôlez et limitez leur utilisation abusive de leurs smartphones et les jeux vidéos qui captent involontairement leur attention et les empêchent de faire leurs devoirs à la maison en temps opportun.

 

Conclusion:

L'éducation de nos enfants est une multitude de facteurs et d'influences. Deux institutions ont un rôle primordial et une responsabilité formelle dans le domaine de l'éducation vis-à-vis de la société ce sont la famille et l'école. Les parents ont toujours été et resteront les premiers éducateurs de l'enfant. Ils ont le devoir de mettre en place les valeurs morales et intellectuelles pour assurer l'avenir de leur progéniture. Cependant face aux innombrables sources d'information qu'offrent les médias et la révolution numérique, l'école comme les parents ont du mal à conserver leur autorité morale incontestée d'autrefois dans le domaine de l'éducation d'où surgissent les problèmes de la violence scolaire, de l'intolérance, de l'abus d'utilisation des smartphones les éloignant de toute relation sociale dans la famille tout en les empêchant de faire leurs devoirs et leurs études dans les délais impartis.

 

Selon les experts, les parents évitent l'école de peur d'être jugés par rapport à la réussite scolaire de leurs enfants. Contacter un professeur est souvent associé à un problème ou une urgence, donc une attitude plus positive de la part des enseignants aiderait les parents à s'impliquer davantage dans la vie scolaire de leurs enfants.

 
* Professeur, retraité, en psychopédagogie et en sciences de l'éducation

Notes: -Implication parentale et réussite scolaire, rôle de la Médiation parentale Josiane Caron (2005)
-Parental involvement with children's education Robinson and Angel(2008)
- L'implication des parents dans la réussite scolaire de leurs enfants Anne Barbara et Helenne Ferrand (2015)

Mohammed MOULESSOUIGA


14/04/2024
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Formation professionnelle : un plan conjoint pour le développement des Arts et de l'Information

Publié par l’APS le : Samedi, 30 Décembre 2023

 

TIPAZA - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a affiché, samedi à Tipaza, la disposition de son secteur à contribuer à l'élaboration d'un plan conjoint pour le développement de la filière des arts et du secteur de l'information, dans le respect du "référent culturel algérien authentique".

 

Supervisant un séminaire sur "La formation professionnelle et les exigences des métiers de l'information, du cinéma et des arts", organisé à l'institut national des technologies de l'information, de la communication et des métiers de la téléphonie "Abdelhafid Boussouf" à Bousmail, M. Merabi a déclaré que son secteur était "pleinement disposé" à contribuer à l'élaboration d'un plan d'action conjoint pour soutenir et développer la filière des arts et des métiers qui en découlent, telles que l'industrie cinématographique, le théâtre, la musique et les arts plastiques.

 

Et d'ajouter que cette disposition intervient, dans le cadre de l'action interministérielle, en réponse aux besoins du marché du travail en vue d'être au diapason des différents développements que connait le pays en la matière, dont la création du premier baccalauréat artistique au titre de l'année (2023/2024), explique-t-il.

 

M. Merabi a fait savoir, en outre, que son secteur tendait à "renforcer la nomenclature des formations " en assurant des spécialités à différents niveaux au profit des jeunes, dans le but d'augmenter les chances d'emploi, d'une part, et d'accompagner la dynamique marquant les scènes médiatique, culturelles et artistique d'autre part.

 

Il a indiqué que cette rencontre qui s'inscrit dans le cadre d'une série de séminaires organisés avec divers secteurs et acteurs socioéconomiques, portait sur deux axes, le premier concerne "la mobilisation des capacités du secteur de la formation et de l'enseignement professionnels pour répondre aux exigences des métiers de l'information et de la communication", tandis que le deuxième concerne "la définition des potentialités du secteur pour remédier aux besoins des métiers liés au cinéma et aux arts", et ce, en collaboration avec les représentants des ministères de la Communication, et de la Culture et des Arts, ainsi qu'avec divers acteurs de la scène médiatique et culturelle.

 

Il a fait savoir, en outre, que ce séminaire sera sanctionné par des recommandations "efficaces permettant de développer une vision moderne et prospective du partenariat entre le secteur de la formation et de l'enseignement professionnel et tous ces acteurs, en vue d'identifier des besoins des établissement qui en relèvent, et d'enrichir la nomenclature des filières professionnelles et des spécialités de la formation professionnelle par de nouvelles spécialités adaptées aux évolutions marquant ce domaine".

 

Ce séminaire vise à élaborer une stratégie médiatique pour le secteur de la formation et de l'enseignement professionnel, en associant les responsables de l'information au niveau de toutes les directions de wilaya de la formation et de l'enseignement professionnels à travers le pays, selon les organisateurs.


31/12/2023
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Merabi préside l'ouverture d'un séminaire national sur "La formation agricole entre la connaissance académique et la réalité de l'artisanat"

Publié par l’APS le : Jeudi, 28 Décembre 2023

 

ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a présidé, jeudi à l'Ecole supérieure de la sécurité sociale (ESSS) à Alger, l'ouverture d'un séminaire national sur "La formation agricole entre la connaissance académique et la réalité de l'artisanat", dans le cadre de la coordination entre les différents secteurs en vue de concrétiser la stratégie agricole tracée par le président de la République pour le développement du secteur agricole.

 

Dans son allocution à l'ouverture du séminaire qui s'est déroulé en présence de membres du Gouvernement, M. Merabi a affirmé que le secteur agricole "revêt une importance majeure dans la stratégie de développement et en matière de formation d'une main d'œuvre qualifiée".

 

Après avoir rappelé l'appel du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à l'adoption d'un plan d'urgence pour la modernisation de l'agriculture en vue d'assurer la sécurité alimentaire et de répondre aux besoins nationaux, le ministre a souligné que cette rencontre "se veut une occasion pour passer en revue les différentes spécialités disponibles dans le secteur de la Formation et de l'enseignement professionnels dans le domaine agricole, l'objectif étant de concourir à leur enrichissement, voire à leur valorisation par les partenaires économiques et les investisseurs dans ce domaine, tout en veillant au développement des instituts spécialisés dans l'agriculture".

 

Soulignant que le secteur dispose d'un "grand nombre de formateurs de plus de 900 professeurs spécialisés qui assurent la formation dans plus de 80 spécialités dans la production agricole, animale et végétale", le ministre a exprimé l'espoir que cette rencontre puisse contribuer à "l'enrichissement de la nomenclature des filières professionnelles par de nouvelles spécialités adaptées aux mutations effrénées que connaît le secteur agricole dans notre pays pour réaliser les objectifs stratégiques escomptés, qui consistent principalement à garantir l'autosuffisance en produits agricoles".

 

Pour sa part, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a insisté sur la formation agricole, étant  "un domaine commun entre plusieurs secteurs", soulignant qu'elle "fait partie intégrante de la stratégie de l'Etat visant à moderniser l'agriculture, conformément aux engagements du président de la République".

 

M. Cherfa s'est félicité, par ailleurs, de l'organisation de cette rencontre visant "l'adaptation de la nomenclature des filières professionnelles aux exigences du secteur agricole pour renforcer la sécurité alimentaire".

 

Il a rappelé, dans ce sens, que le secteur agricole disposait de "13 établissements de formation, en plus d'un réseau d'instituts spécialisés dans la recherche et le développement", ajoutant que les différents programmes de formation et de soutien technique réalisés avec la contribution du secteur de la formation et de l'enseignement professionnels ont permis d'améliorer les pratiques agricoles des agriculteurs et de réaliser un bond qualitatif dans plusieurs domaines, dont l'extension des superficies agricoles, l'introduction des techniques modernes telles que les systèmes d'irrigation économes en eau et l'intensification de la production en serres".

 

Le ministre a également expliqué que son secteur "a procédé, à la faveur de la contribution du secteur de la formation et de l'enseignement professionnels, à la mise en œuvre de plusieurs programmes de formation au profit des jeunes bénéficiaires de nouvelles exploitations dans le cadre de la concession, notamment dans les wilayas du Sud".


29/12/2023
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Kamel Moula à la tête du Conseil de partenariat de la formation professionnelle Comment mettre la main-d’œuvre au diapason de l’économie

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Publié le 13.12.2023 dans le Quotidien l’Expression

Cette investiture montre la vision ambitieuse qui promet de faire de 2024 une année charnière pour la formation professionnelle.

Un nouveau challenge pour le patron des patrons algériens

La formation professionnelle s'invite à l'École supérieure d'hôtellerie et restauration d'Alger. L'Eshra était, hier, le théâtre d'un événement qui pourrait être un tournant dans la formation professionnelle en Algérie. Kamel Moula a été officiellement investi en tant que nouveau président du Conseil de Partenariat de la Formation et de l'Enseignement Professionnels. Il succède à Lakhdar Rekroukh. Sa nomination, actée par décret présidentiel en avril dernier, marque une première dans l'histoire du Conseil, confiant ce poste stratégique à un entrepreneur du secteur privé. Moula, président du Conseil du Renouveau Économique (Créa) a reçu un large soutien de diverses confédérations patronales. L'installation a attiré une audience distinguée, comprenant des chefs d'entreprises publiques, des hauts cadres de l'État, des députés, des ministres, ainsi que les 58 directeurs de formation professionnelle du pays, présents en visioconférence. Kamel Moula, exprimant sa détermination, a déclaré que «pour une économie forte, il lui faut une main-d'oeuvre qualifiée». Le patron du Créa s'est engagé à adapter les programmes de formation aux exigences du marché. «Nous travaillerons avec les cadres du secteur pour aligner nos centres de formation sur les évolutions rapides de l'économie», a-t-il souligné. Il a également annoncé des propositions concrètes visant à renforcer le secteur de la formation professionnelle. Il met en avant la nécessité d'intégrer les étudiants dans les entreprises dès le début de leur formation, garantissant ainsi des diplômés opérationnels et prêts à l'emploi. Moula insiste sur la valeur des Techniciens supérieurs, les plus recherchés sur le marché, tout en regrettant la sous-valorisation persistante de la formation professionnelle et le manque d'intérêt de certains jeunes.
Sous son mandat, Kamel Moula place la revalorisation et la communication au coeur des priorités. Il met en lumière la révolution qu'a connue le secteur au cours des quatre dernières années, soulignant les progrès depuis l'arrivée du président Tebboune à la tête du pays. Un témoignage éloquent émanant d'un acteur clé de l'économie confirme que la formation professionnelle poursuit sa transformation pour mieux répondre aux exigences des entreprises. Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, s'aligne sur les propos de Kamel Moula, rappelant que de nouvelles spécialités ont été intégrées ces dernières années pour s'adapter aux attentes et aux besoins du contexte socio-économique algérien.»À l'image du dessalement d'eau de mer, des chemins de fer, du numérique, des énergies renouvelables, ou encore de la transformation des produits agricoles», précise le ministre, non sans mettre en avant la diversité des domaines couverts par ces nouvelles spécialités. Pour Yacine Merabi, la formation professionnelle doit rester en perpétuelle évolution afin de répondre rapidement aux besoins du marché. Le ministre se réjouit de collaborer avec Kamel Moula et les opérateurs économiques engagés à contribuer à la formation d'une main-d'oeuvre qualifiée, ouvrant la voie à son intégration en milieu professionnel, d'abord en tant que stagiaire, puis en tant qu'employé. Il met en exergue la richesse des opportunités, avec 495 spécialités proposées dans 23 secteurs professionnels, réparties à travers 1225 établissements de formation professionnelle publics et 806 privés. Des exemples concrets de réussite ont été présentés dans un clip vidéo diffusé par le département de Merabi. Des jeunes en formation dans la gestion du dessalement d'eau de mer effectuent leurs stages pratiques dans des stations déjà opérationnelles, avec la perspective d'un recrutement à la clé. De même, un jeune ayant bénéficié d'une formation dans le cadre de l'allocation chômage se réoriente vers les énergies renouvelables, illustrant une reconversion professionnelle fructueuse. Le ministère met la lumière sur des histoires inspirantes, comme celle de plongeurs à Annaba qui ont transformé leur passion en métier. Grâce aux nouvelles spécialités, ils apprennent la soudure sous-marine et la réparation en mer des navires. À Jijel, d'autres se forment à la réparation et à l'entretien de navires, avec l'assurance d'un emploi à la clé. 


16/12/2023
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Dissolution du fonds national de développement de l'Apprentissage et de la formation Continue

Le décret exécutif n° 23-357 du 17 octobre 2023 portant dissolution du fonds national de développement de l'apprentissage et de la formation continue et transfert de ses biens, droits, obligations, moyens et personnels au ministère de la formation et de l'enseignement professionnels, est publié au journal officiel n°68 du 25.10.2023, page 6.

 

Pour rappel, le FNAC avait pour mission la promotion et le développement de l’Apprentissage et de la Formation Continue en collaboration avec les établissements de formation professionnelle et les opérateurs économiques.

 

Il collectait les taxes  de l’apprentissage et de la formation continue. Il organisait des formations pour les personnels des entreprises.


01/12/2023
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